R.E.S.E.T.

Emotion reset

Quelques cas RESET

 

 

Pour me joindre par téléphone : 438-391-0726, ou par courriel marcelboyer@mac.com

 

 

 

Voici plusieurs cas dont RESET a réussi à offrir des libérations dans le corps physique offrant un mieux-être immédiat…

Un livre est en cours de routes sur plusieurs expériences de ma vie et l’aide que j’ai su apporter aux personnes désirant s’accomplir à travers leurs choix de reprendre les rails de leurs chemins de vie et d’âme…

Tous les noms des clients ont été changés : 

Cas –1 Gérard :Gérard, un homme dans la fin soixantaine vient me voir pour une sciatique ; il a un doigt qui reste bloqué en extension (toujours tendu) !  Que vous est -il arrivé ? Je l’ai passé dans ma scie ; il l’on remis en place mais il ne plie plus.

J’ai donc simplement travaillé les axes énergétiques et en quelques minutes, je lui ai dit Ok, pliez-le maintenant ?!

Mais il ne plie pas depuis un an.

Essayez donc voir !

Bien voyons donc il fonctionne à nouveau, me dit-il !!

 

Cas -2 Anita : Anita, une dame retraitée…À notre première rencontre je lui dis,votre mari est récemment décédé d’un cancer ?

Elle me dit oui ! de quoi ? du côlon.  Anita me dit alors qu’elle a eu le même cancer…Bien moi aussi, et deux fois, nous sommes donc en pays de connaissances…

Après le soin elle me demande :  tu peux aussi faire quelque chose pour ma fille, elle fait d’atroces migraines ?? Son neurologue doit la mettre dans un état comatique quelques jours quand la douleur devient trop intense.

Le mercredi suivant elle revient donc pour le rendez-vous avec sa fille d’une trentaine d’années.  Je lui fis neutraliser des mémoires de son père toujours actives en elle. Je lui dis : je veux te revoir vendredi. J’ai donc complété le soin tel que prévu, et depuis, plus de migraines…et il y a de ça quelques années… Dans ce cas, il s’agissait au fait d’une mémoire entre elle et son papa décédé…mémoire maintenant annihilée.

 

Cas- 3 : Gilberte :Gilberte une femme de 68 ans avait été violé et laissé pour morte dans un parc ; Gilberte a survécu à ses blessures physiques mais les mémoires vives du viol n’ont jamais été neutralisés. Nous avons traité ces mémoires en deux séances et maintenant elle peut entendre parler d’un viol ou de semblables agressions sans avoir besoin de reprendre de médication et elle peut vaquer à sa vie. Elle trainait ce malaise depuis plus de cinquante ans…

 

Cas – 4 : Pierrette : Pierrette est passé devant moi un jour, je lui dis, il faut que je te parle… que se passe-t-il avec ton mari ? bien il est mort il y a quelques mois, il est près de moi à la maison. Je lui fais son café avec un cœur en mousse tout comme avant, je lui mets aussi son assiette devant moi… Il faudrait peut-être le laisser partir, non ? Je lui ai expliqué comment faire.Quelques jours plus tard elle revient me voir, elle est en beau fusil ! Il n’est plus là, c’est ta faute, je suis fâchée contre toi, je n’aurais pas dû t’écouter…

Bon, bon, bon… il est toujours là mais, il est sur une autre fréquence, vous êtes en bande AM et lui en FM, changez de fréquence et il sera toujours là.  Wow,tu as raison je le ressens déjà, Merci !

 

Cas – 5 Rose : Rose est une dame dans l’automne avancé de sa vie, elle vit avec ses 3 sœurs dans une maison de retraités…elle me disait, ma sœur la plus vielle, je ne suis plus capable de la sentir, elle est désagréable et négative sur tous les sujets que l’on aborde, nous avons une table à quatre pour les repas et j’aimerais ne plus y être…

Votre sœur est misérable, elle ne sait plus comment attirer votre attention, dites-lui : viens t’assoir avec nous, nous aimons ta façon de voir les choses. Tu nous fais rire et tu nous pousse à voir comment la vie est belle par tes commentaires négatifs … Je ne peux lui dire cela, voyons… Tentez le coup et mettez vos sœurs dans votre jeu… Une semaine plus tard la grande sœur c’est mis à rire et a réussi à se faire aimer pour les vraies raisons…

 

Cas – 6 Rita :Rita une dame de 85 ans, première fille d’une grande famille, une mère de substitut, elle lessivait à la main des couches à l’âge de 5 ans, elle était le chouchou de son père. Sa mère était jalouse de toutes proximités entre elle et son père. À 5 ans, sa mère lui a dit de vive voix : tu seras toujours qu’une Putaintoute ta vie, au service de tout le monde… Après 80 ans, Rita s’est libéré de cette mémoire avec RESET, mais elle avait attiré dans sa vie des hommes pervers et narcissiques car cette étiquette était gravée en elle donc bien sûr qu’elle a aussi attiré des personnes dominantes dans toutes ses relations amoureuses, et de même pour ses enfants !

 

 Cas – 7 Denise : Denise, Un dame semi-retraitée, elle a suivi des formations toute sa vie en éveil personnel et en croissance. Je lui aidemandé,pouvez-vous me dire combien avez-vous investi dans vos formations ? Elle baissa les yeux et me répondit : J’aurais aujourd’hui une maison payée, et une grosse ! … Arrivez-vous à vous servir du contenu de vos formations ? Ou vous faut -il toujours aller en chercher d’autres ?

Non, je ne peux pas, je suis bloquée ? Je lui dis, et Atlantide, ça vous dit quelque chose ? Et là elle a eu une illumination : J’y étais et je travaillais dans la science du corps humain, et je sais ne pas y avoir travaillé dans l’amour car mon travail était de détruire pour trouver des outils de guerre, et là je vois un scalpel… Vous voulez faire des soins, exact ? vous avez déjà votre salle, oui ? Que manque-t-il dans votre salle ? Rien… tout est là ! Alors pourquoi n’avez-vous pas de clients ?  

Quelle est votre relation avec les couteaux, les lames métalliques ? Il n’y a jamais de couteaux sur les comptoirs chez moi, ils sont toujours lavés et rangés dans un étui. Pour vous les lames, couteaux et bistouris représentent le mal…vous allez donc prendre une ou plusieurs orchidées, retirer leurs tuteurs et les remplacer par des couteaux de cuisines, et ensuite les placer dans votre salle de soins. Vous allez simplement changer votre relation entre la mort induite par les lames, à plutôt en devenir des tuteurs de la vie pour vos plantes, et bien sûr commencer à croire en vous et à vos capacités…et voilà…

 

 Cas – 8 : Adam : Adam est un jeune garçon de 8 ans, j’ai rencontré sa mère une semaine avant notre rendez-vous, une travailleuse sociale (TS) qui m’a demandé : peux-tu faire quelque chose pour mon fils, il est devenu hyper agressif ? On va tenter… Adam aime quoi ? Il adore Michael Jackson !  Ouf, je vais devoir faire des recherches pour arriver à jaser avec Adam.

J’ai dit à sa mère qu’elle devait être là, ou son père pour que ça fonctionne. Le père est donc venu avec Adam quelques jours plus tard. J’ai dit à son père : Adam a été secoué quand il avait 4 ans et ½ environ ! Et le grand père, est-il toujours vivant ? Le père de Adam me dit oui, Vous le voyez ? Non !

Il est dans une institution fédéral, disons qu’il fait partie d’une grande famille… C’est un homme violent ? Oh que oui… Mais mon garçon n’a jamais été violenté ! Adam dit alors à son père : Papa tu te souviens de ton copain Sicilien qui était venu à la maison ? Le père me dit : ah oui, j’avais oublié…mon ami en provenance d’Italie est venu me visiter et il avait du retard, il était fatigué, et il est Sicilien… !!!

Adam voulait que mon ami aille jouer avec lui dans sa chambre et après plusieurs demandes de mon garçon, mon ami, irrité, l’a pris par le bras, et il lui a dit NON… ce soir je suis avec ton père et demain on verra… !!

Cette violence pas très grave pour plusieurs, mais nouvelle aux oreilles d’Adam, résonna à une mémoire du grand-père, latente en lui, et son subconscient ou son ego lui dit : plus jamais personne ne me violentera !

Donc Adam est devenu réactionnaire à toute forme d’autorité envers lui… Il a développé une violence peu importe envers qui tentera de lui retirer quelques pouvoirs, même si son pouvoir n’est qu’illusoire.  Nous avons donc annihilé cette mémoire afin d’éviter cette vibration.

 

Cas – 9 : Berthe, Berthe une dame de France en visite chez sa fille qui est aussi une amie me disait, ma mère est ici en vacances chez moi. Elle a une sciatalgie qui l’empêche de faire des visites avec moi. Sa sciatalgie dure depuis des années, elle prend des antidouleurs et son médecin lui a dit qu’elle est trop vielle et qu’une chirurgie ne serait pas une option qui lui enlèverait ses douleurs car elle est également arthritique. Je suis alors passé la voir chez elle avec une table portative…nous avons laissé aller des mémoires du mari et de certains enfants, simplement, et hop plus de douleurs depuis !

 

Cas – 10 : Germaine et Gérard, Germaine une femme en peine d’amour, toujours accroché à son amoureux et dépendante… Elle me demande : je devrais-tu le reprendre ? Bien je crois que tu n’es pas prête à aimer et je ne parle pas d’un autre, mais bien de toi, de t’aimer toi sans condition ! INCONDITIONELLEMENT …

Nous pouvons faire cela ?

Oui, et c’est obligatoire, nous aimer sans raisons, pour qui nous sommes.

Et non pour ce que l’on peut faire ou ce que l’on peut accomplir…

Germaine est repartie avec une quête de tomber amoureuse d’elle !

Quelques jours plus tard elle me rappelle me disant qu’une bosse au sein droit est apparu, je lui dis d’aller consulter et de passer me voir le soir même. Nous avons discuté du blocage qui l’empêche de s’aimer, nous avons simplement fait une ouverture du cœur (sans chirurgie !).

La bosse a perdu la moitié de sa taille en quelques minutes ! Ce qui est arrivé c’est que Germaineavait laissé passer tellement de peines et d’émotions accumulés dans la région du cœur, que les ganglions se sont bloqués suite aux toxines relâchées au niveau du péricarde et de la région costale accompagné du manque d’hydratation. Il faut dire qu’elle avait aussi beaucoup pleuré !  Elle a ensuite cancellé sa demande pour la mammographie en urgence, et Gérard a repris du service, il est revenu dans sa vie…

 

 Cas – 11 : Jean,Jean est un jeune homme dans la trentaine à l’université. Il a eu une grosse peine d’amour d’une femme au tempérament narcissique dominante. Depuis Jean ne trouve pas l’amour, il n’arrive pas à se laisser aimer…

Il devient alors esclave des services d’escortes, mais sans consommer. Il fait venir des filles chez lui et il ne fait que discuter avec elles, les filles sont heureuses de l’avoir comme client et lui s’appauvrit dans tous les sens du mot. Il nous a fallu deux rencontres pour qu’il reprenne confiance en lui et qu’il cesse d’utiliser les services d’escortes. Il ne porte plus en lui la vibration de soumission donc il n’attire plus vers lui cette gente féminine dominante.

 

Cas – 12 : Gilbert, Gilbert un homme de la fin cinquantaine, il vient me voir pour une sciatalgie. À toutes les années à la même date, je coince qu’il me dit !

Donc je lui fais un massage lombaire en prenant soin de dégager ses hanches. Je le retourne sur le dos et là mes guides me dise de lui faire une légère pression sur l’os pubien du côté droit, et de faire une légère pression sur une côte près de son sternum. Gilbert me dit tu en as pour longtemps, car sous mon pubis ça brûle comme du feu !  À la fin du soin il s’est levé debout, et rien, la douleur dans son dos était pareil, je me suis dit j’aurais dû faire ceci ou cela, et je me suis en quelque sorte culpabiliser…

Quelques mois plus tard Gilbert me sollicite pour un autre rendez-vous. À son arrivé il me questionne sur le point qui l’avait brûlé au pubis, je lui demande pourquoi ? C’est parce que j’ai vu mon médecin la semaine dernière et ça fait quelques années qu’il surveille un point sensible sur mon bas ventre. Il m’a dit on n’ira pas trop jouer dans ton point sensible mais si tu as un inconfort ou des troubles urinaires on ira faire une biopsie ! Donc le médecin a fait un suivi sur ce point douloureux et il a dit à Gilbert : qu’as-tu fait ? le point n’est plus là !

Gilbert a compris la brûlure qu’il avait ressenti à ce moment ! Ce problème physique était en fait lié à un accident de pêche relié à un ami d’enfance de son garçon, où l’ami en question avait trouvé la mort en se noyant lors de cet expédition avec eux…Le territoire chez l’homme s’il est méprisé, cela peut occasionner des problèmes urinaires…chez Gilbert le territoire avait été perturbé par le conflit avec son garçon depuis la noyade de son ami, et le pardon que Gilbert devait se faire à lui-même !

Ces détails importants de cette histoire furent trouvés par Caro ma copine qui s’éveille à ses capacités divinatoires avec l’Encromancie.

 

Cas – 13 : Chantal,Chantal pour moi sera toujours la dame au point bleu… Elle était une institutrice au primaire dans un quartier près de chez moi. Je l’ai vu plusieurs années à chaque mois pour des massages. Quand je termine un massage je fais souvent un étirement quand la personne est sur le dos en guise de terminaison, je passe mes mains sous le dos très bas et ensuite j’étire le dos et je fini par un étirement des cervicales.Quand la personne est grande je dois mettre mon torse un peu au-dessus d’elle pour faire un contre poids. À chaque fois que je passais mon cœur au-dessus de sa tête elle me disait voir un point bleu apparaitre sur son troisième œil.

Je lui disais laisse le venir, le bleu est bon pour toi…

Lors de notre dernière rencontre, car je suis déménagé par la suite, mes amis d’en haut m’ont dit « ça va brasser aujourd’hui, elle est prête » …mais prête à quoi ?  Je ne me sentais pas rassuré mais bon, ils ont toujours raison, donc à la fin du massage je lui ai fait le même étirement et tout à coup, Chantal s’est mise à avoir de gros tremblements, je lui dis ça va, tu veux que je continue ? Oui s’il te plait continu ! et là j’ai repositionné mes mains sous son dos et elle s’est mise à avoir de grandes secousses, même la table brassait de tous les sens…

Je l’ai alors emmitouflé d’une grosse couverture, elle pleurait de joie et d’amour.Tu veux en parler, elle me dit oui.  Ceci a duré dans notre temps terrestre peut-être deux minutes, mais pour elle plusieurs minutes, elle avait glissé hors du temps dans un bassin de grande conscience.

Chantal me dit alors : quand tu m’as légèrement soulevé la première fois, le point bleu s’est approché de moi. Il avait l’air d’une fève bleu qui tournait sur elle-même, quand tu as repris l’étirement la fève s’est approchée et c’était au fait un fœtus bleu. Je l’ai reconnu c’était ma fille morte à sa naissance il y a trois ans de cela, elle m’a parlé, elle m’a dit d’arrêter de me culpabiliser, c’était son choix de ne pas vivre sur terre. Elle m’a aussi dit de retourner à la maison m’occuper de son frère et de sa sœur, et qu’elle me remerciait de l’avoir accueilli avec autant d’amour…

 

Cas – 14 : Sophia, Sophia une jeune femme dans la trentaine avancée qui avait deux problèmes, soit une maladie dégénérative de sa vision et un trouble de sommeil. Au premier rendez-vous, son œil gauche a retrouvé sa parfaite vision…au second rendez-vous je lui ai demandé « tu aimerais améliorer un coté de toi » ? Sophia m’a dit, j’aimerais bien dormir… Quand ma fille vient dormir à la maison, je ne ferme pas l’œil tant qu’elle dort sous mon toit, je deviens hyper vigilante, je n’y peux rien !

Une fois notre discussion terminée, je mis ma main sur ses côtes du côté droit et une douleur insoutenable devenu présente pour elle. Sophia me dit, ok je comprends, il y a très longtemps (vie antérieure) je devais protéger quelqu’un avec mon épée, et je me suis fait endormir ou empoisonnée et je n’ai pu aider la personne que je devais protéger, je me suis battu mais je suis morte d’un coup d’épée sur mon côté droit. Qui était la personne que vous deviez protéger ? C’était ma fille, je comprends maintenant que je suis devenus hyper vigilante en sa présence…

Depuis cette dernière rencontre Sophia dors comme un bébé !

 

Cas – 15 : Georgette. Georgette une dame atteinte de Fibromyalgie. Un soir j’ai donné une conférence pour l’association de la Fibromyalgie, à la fin de la conférence j’ai demandé à l’assistance si quelqu’un avait mal, tous ont levé la main aussi haut qu’ils le pouvaient. Mais une dame, Georgette, s’est littéralement jeté sur moi. Ella avait de grosses douleurs aux hanches et à l’épaule. Je lui ai fait quelques points au bassin et au sternum. Après 5 minutes, je lui ai demandé de lever son bras, il ne lève pas qu’elle me dit, il faudrait tenter de le lever, non ça va faire mal, vas-y lève ton bras !

Georgette lève donc son bras finalement et me dit : voyons, ça ne fait plus mal ! Ok, maintenant regarde l’horloge au mur, elle indique 9h12, tu n’as pas mal, tu es d’accord ? Imagine maintenant qu’il est 5h30 aujourd’hui et que tu ne m’as pas encore rencontré, je ne t’ai pas fait de points de relâchement. Donc il est 5h30, lève ton bras ! 

Georgette me dit, il ne lève plus, il fait mal… Ok, regarde l’horloge au mur, elle indique maintenant 9h13, lève ton bras !

Bien voyons, il ne fait plus mal à nouveau !

Georgette a passé dix jours sans aucunes douleurs, ses douleurs sont revenues une fois qu’elle a revu une thérapeute qui l’a ramené dans son passé et ses émotions, car les mémoires avaient seulement été endormies pas mes points de relâchement sans avoir été neutralisées tel par un soin complet qui dure environ 2h30…mais tout de même, cinq minutes de soin pour dix jours de liberté de douleurs, ce n’est quand même pas mal ?!

 

Cas – 16 :Albert, Albert un vétéran de l’Afghanistan, il est venu me voir pour un mal de dos, il était accompagné de sa femme. Je lui ai demandé, tu veux aller mieux ou vraiment mieux ? Je peux te faire un massage qui va te soulager, ou aller voir ce qui te perturbe et possiblement te permettre de moins souffrir ?

Je ne crois pas que c’est possible qu’il me dît ! On verra bien…

Que faisais-tu en mission ? J’étais chargé de la rampe. La rampe ?

Oui, je travaillais dans un Hôpital qui recevait des combattants, ils arrivaient par hélicoptère en urgence, et moi mon job était de les identifier s’ils ne survivaient pas et de les expédier par la rampe dans l’avion de retour.

Mes amis ou guides m’ont demandé de lui poser la question suivante : Et la boite, de quoi il s’agit-il, c’est quoi la boite ?

Tu connais le terme de la boite ? Non, mais tu es sur le point de me l’expliquer…

Humm la boite, ce sont certaines parties que l’on ne sait à qui elles appartiennent ? Donc on fait une boite qui monte sur la rampe aussi …

De quoi as-tu peur maintenant ? Bien, j’ai une phobie des hélicos et des détonations.

C’était la première fois pour moi où je devais retirer une mémoire d’un lieu, soit l’Afghanistan…Albert a eu de la difficulté à laisser aller ce lieu, il m’a fallu être incisif, mais il l’a finalement laissé aller !

La semaine suivante il est revenu pour un second soin et j’ai demandé à sa femme comment il allait, et elle m’a dit qu’à peine ce matin elle lui a fait remarqué : regarde chéri, un hélico dans le ciel et il a répondu tout bonnement : et oui, je ne l’avais même pas vu ni entendu…

 

Cas – 16 : Gab,Gab une jeune asiatique de 16 ans qui a été adopté dès l’âge de 16 mois par un couple près de chez moi. Gab est aux études, elle veut travailler dans des soins infirmiers, où l’homme est roi…

Gab fut rejeté de sa mère, car une fille en Chine n’a pas aucune valeur… et ensuite, elle a été rejetée de sa nation matriarcale, et là elle veut œuvrer dans un monde scientifique patriarcale ici, ouf… On a dû aussi travailler sur certaines mémoires du pays du soleil levant…elle a ressorti de son soin se sentant le cœur beaucoup plus léger !

 

Cas – 17 : France, France une psychologue qui vient de perdre son mari dans une lutte au cancer. France est aigrie, maussade, amaigrie… en premier lieu je lui ai fait un massage de relaxation, elle en avait besoin, lors de la seconde rencontre nous avons parlé de psychologie et du fait que moi je préfère davantage la logothérapie, c’est-à-dire la thérapie de l’esprit. France me disait qu’elle avait un grand nombre de ses clients qui entendait des voix…

Je lui ai simplement dit, tu sais France tu te fais traiter par un gars qui entends des voix, elle s’est sidérée, elle est devenue froide pendant cinq minutes et ensuite elle s’est exclamé de rire… Elle m’a dit, tu as su me recadrer avec tes propos et je ne peux que t’en remercier !

 

Cas – 18 : Annie B, Annie est une cliente de longue date et un jour elle me dit je dois aller passer une résonnance magnétique (IRM), et la dernière fois, j’ai paniqué…j’ai donné des coups de pieds dès que je me suis sentie coincé dans le tunnel !

Je dois refaire un examen IRM suite à un accident de voiture et j’ai vraiment peur d’avoir une crise de panique. Je lui ai dit, pense hors de la boite, tu es prisonnière dans cette boite depuis que tu es toute petite. Imagine que cette boite est de carton et ouvre là simplement, ne te mets plus de barrières ni de territoires, prends tout ton espace dans ta vie, ton travail etc. La semaine suivante l’IRM c’est bien passé, et son travail est en changement aussi …

Cas-19 : Maria :  Maria une nouvelle cliente qui avait un manque de confiance ainsi que de la difficulté à s’affirmer, voici son témoignage :

Je suis contente parce que les gens me remarquent de plus en plus…

Les gens plus conscients me reconnaissent, pour qui je suis.

Un gars me disait d’ailleurs continuellement ce week-end durant ma formation d’enseignant de Yoga Prana Flow, que j’ai quelque chose dans les yeux !

Il disait :c’est fou comme tu es proche du divin.

Tu as quelque chose de changé, c’est évident.

On m’a même dit à deux reprises : Wow c’est donc bien intéressant parler avec toi !

Merci Marcel, c’est grâce à toi que les gens me voient maintenant…

Maria, je t’ai seulement amené à prendre une décision, tu as fait le choix, tu t’es choisi…

Certains n’ose pas faire de choix. Et c’est leur choix…

 

Cas-20 : Renée Renée est une dame d’environ 67 ans, elle vient me voir pour des courbatures au dos…ce qui me fascine de Renée c’est que son histoire est exactement la même qu’une autre dame qui a le même âge et les mêmes blessures, et elles ne se connaissent pas !

Donc Renée vient me voir et tout de suite je perçois que son père avait été abusif sexuellement dès l’âge de 7 ans jusqu’aux environs de 14 ans.  Sans être subjectif, je lui demande : quel genre d’homme était votre père ? Elle s’est alors mise à trembloter pour me révéler ce qu’elle avait vécue et ce qui était tout à fait ce que j’avais ressenti dans sa zone de somatisation (Où les mémoires se logent dans le corps physique).

Ce qui n’allait pas avec Renée c’est que sa blessure, ou la mémoire infligée par le père, était moins sensible du côté masculin (côté droit) que du côté de sa mère (côté gauche).  C’est-à-dire que la mémoire provenant de sa mère était encore plus intense que le geste porté par son père ? Je lui ai alors demandé pourquoi la sensibilité de sa mémoire était plus intense du côté maternel ?

Sa réponse fut : j’ai été me plaindre à ma mère du comportement de mon père et elle m’a dit : Bon, bonne nouvelle, il va me foutre la paix maintenant, tu es à l’âge d’être une femme, endurcis-toi…

Il va sans dire que Renée n’a pas été en mesure de trouver l’époux qui l’a aidé à vivre sa vie de femme, elle a attiré des hommes plutôt narcissiques aux comportements manipulateurs. Elle transportait et vibrait  des  mémoires vibrant le narcissisme depuis plus de cinquante années…

 

Cas-21: Josée : Josée une fille de la fin quarantaine, anxieuse, amoureuse d’un amour impossible ou presque.

Josée aime un homme dans une ville lointaine, un amour d’écoliers qui revient après trois décennies. Un début de passion qui s’estompe après quelques temps, une confiance qui se dilue à la suite de multiples promesses non tenues ! Comme si l’homme avait une maitresse ? Avec RESET 3 il est possible d’aller valider si votre comportement ou ce que vous attirez vers vous est lié à une expérience karmique non réglée qui vous est alors remis sur votre route encore une fois. Vous allez risquer d’attirer vers vous des personnes ou des messagers pour qu’enfin vous régliez ces étapes encore non affranchies…

Donc, Josée a un amoureux qui se désiste ou disons qu’il ne veut pas, ou ne peut pas s’investir dans cette relation

Je demande à Josée : si on se retrouverait dans un château en époque médiévale, comment te sentirais-tu ?

 Ouf, pas bien du tout… je suis dans une salle de torture et j’ai un bourreau qui m’afflige des tortures à multiples reprises, il ne me tue pas mais me fait souffrir à petits feux. Après quelques temps, il me semble découvrir une relation d’amour-haine avec cette personne cagoulée…

Je dirais que mon bourreau vit la même chose envers moi et c’est pour cela qu’il refuse de me mettre à mort. Il aimerait pouvoir m’aimer au grand public mais il ne peut pas, il doit exécuter les ordres.

Je suis en prison car je n’ai pas honoré la loi des hommes, je suis dans cette prison comme modèle pour que les femmes ne sortent plus des rangs…

J’ai alors demandé à Josée en lui donnant accès à retirer la cagoule de son bourreau :  Qui est ce bourreau ?  C’est lui, c’est lui…

Dès ces paroles prononcées, Josée venait de comprendre ce lien conflictuel avec cet amoureux d’aujourd’hui et ainsi que toute la tristesse qui habite ces deux personnes simultanément.

Après la séance j’ai demandé à Caro ma conjointe de m’assister, Caro n’avait pas la moindre idée où j’allais avec ma requête. J’ai alors demandé à Josée si elle avait un objet avec elle, qui appartient à son amant, elle me transmit cet objet que je déposais immédiatement dans la main de Caro.

Caro se mit à voir la scène dont elle n’était pas au courant, elle se mis à verser des larmes car elle ressentait les douleurs dans cet être qui avait dû faire du mal à Josée. Caro ressentait toute la tristesse en lui qui l’empêchait de se commettre dans cette relation victime- bourreau, car inconsciemment il a probablement peur de recommencer ses actes physiques. Mais ses actes physiques non faites, se sont permutées en tortures amoureuses pour ces deux êtres.

Josée a débuté son cheminement vers une libération, le bourreau tant qu’à lui devra lui aussi se libérer de cette torture. Nous lui envoyons de l’amour en grandes doses…

 

Cas-22 : Gaby et Sonia : J’ai vécu et écrit le début de cette histoire il y a environ une quinzaine d’années, donc vers 2005 et elle se termine en 2019.

Sonia, Prise un

Par une belle journée automnale très ensoleillée, une dame se pointe, ayant préalablement pris rendez-vous, elle a un très joli visage et un air un peu coquin. Elle a un air de déjà vu, mais je n’en suis pas sûr, elle ressemble à une autre Sonia qui fait de la télé, mais celle-ci porte les cheveux courts. Comme Sonia est une nouvelle cliente, je dois rédiger un bilan de santé conforme à la règle d’or de la déontologie, Une cliente évasive qui ne veut rien me dire sur son état de santé. Je pousse le bouchon un peu plus loin, lui demandant si elle avait déjà été massée dans le passé ? OUI dit-elle et je haïs ça à mourir !  Là, dans ma tête, les engrenages tournent et je me dis, que fait-elle ici celle-là ? Elle doit s’être évadée de Douglas? (Un hôpital psychiatrique de la région). Bon, donc, est-ce que je procède au massage ou est-ce que je fais le 911 et demande une camisole blanche à grandes manches ? Sonia me coupe la parole et me dit : tu ne comprendrais rien si je t’expliquais de toute façon ! Je suis ici pour te livrer des messages ?  Elle commençait à m’énerver un peu… bon, je lui dis on laisse les messages de côté et on passe au massage et là, c’était moi qui voulais en finir. J’étais loin d’en finir avec cette hurluberlue, même scénario, une fois bien connecté à son dos, je commence à lui dire quelques trucs. Mais à ma grande stupéfaction, les messages commençaient à débiter mais en amont, c’est-à-dire que la balle était passée dans son camp, elle commença à me questionner, un vrai interrogatoire digne de la Gestapo.  Elle me demande au début si je suis déjà allé en Russie ?

Je lui réponds que non, j’ai visité pas mal de pays, mais pas la Russie, et là, elle se met à rigoler toute seule bien entendu. La tension monte, l’artérielle aussi, j’ai devant moi une cliente qui fabulait et qui en rigolait durant que les aiguilles sur l’horloge refusaient d’avancer. Sonia revient à la charge avec d’autres questions, elle me demande c’est qui François ? Humm…. Je ne sais pas trop? Je ne voulais pas trop sauter dans la flaque avec elle. Je tentais de formuler des réponses évasives mais à vrai dire, il n’y avait pas que les réponses qui voulaient s’évader…. Finalement, je lui répondis que j’en connais un, il était gérant des ventes dans mon magasin à l’époque. Elle me demande est-il en prison le François en question ? Pas à ma connaissance je lui répondis ! Laisse tomber, le François c’est toi…Bon, quoi répondre à une dame qui te dit que ton nom ce n’est pas ton nom et qu’il n’y a pas de François sur mon baptistaire, on a pas idée comment ça peut être long une heure.

Je tente de lui expliquer que je ne suis pas François et que je n’ai jamais mis les pieds en Russie, tout ce que j’arrive à faire c’est de la faire rigoler. Bon, je lance la serviette, je la laisse raconter ses hallucinations, après tout, je suis thérapeute, elle enchaîne qu’elle me connaît très bien et ce, depuis très longtemps. Elle me rassure encore en me disant qu’elle est ici pour me livrer des messages, me disant que je suis son dernier travail sur Terre, car ses incarnations sont toutes finies, tu es ma dernière tâche, ensuite je pourrais passer à un autre stade d’existence.  Je tentais alors de jeter un coup d’œil sur le stationnement, juste question de voir s’il y avait une voiture ou une soucoupe volante devant la porte d’entrée.

Nous avons fait notre rencontre dans une vie antérieure, dans un petit patelin de Géorgie près de la Russie me dit-elle, j’y étais prisonnière et tu étais le gardien de la prison. Tu as été une très bonne personne et d’ailleurs, tu nous as tous aidés à moins souffrir dans des conditions misérables et c’est d’ailleurs pour ça que je suis ici, comme je te disais, tu es ma dernière tâche avant ma libération.Sonia semblait très sérieuse tout à coup, plus de rigolade, son ton avait changé totalement, comme si elle tentait de m’amener dans sa réalité. Les quelques dernières minutes se passèrent dans un silence complet.  Sonia se revêtit et en quittant les lieux, elle s’immobilisa sur le pas de la porte et me dit : tu sais, je serais de retour pour te livrer tes messages, mais je ne sais pas quand ni de quoi ces messages parleront, mais ils sont très importants pour moi comme pour toi.J’étais à la fois sidéré de ses propos et curieux de voir dans quelles sortes de véhicule elle se déplaçait, mais elle marcha tout simplement jusqu’à perte de vue.

Une fois qu’elle fut partie, c’est comme si son énergie n’avait pas quitté les lieux et une drôle de sensation semblait me pénétrer, j’étais perdu totalement, toutes ces informations qu’elle m’avait apportées.

Sonia prise deux

Quelques semaines de répit, pas de clients de l’au-delà du réel, la vie reprend son cours et que des clients dits ordinaires.

Soudainement, Sonia demande un autre rendez-vous et je me questionne si je veux vraiment la revoir, mais bon en premier, je suis curieux à savoir la suite et d’un point de vue commercial, elle met des sous dans la caisse. Je lui donne un rendez-vous dans les jours suivants, elle se pointe, on échange quelques conversations sur le beau temps et elle retourne la discussion sur sa dernière mission avec moi, me disant qu’elle venait de telle maison, de tel décan ou je ne sais trop quoi. Je ne semble pas trop intéressé à entendre ses propos qui me déstabilisent.  Elle passe dans la salle de soin, enlève ses vêtements, ressort de la pièce revêtu d’un peignoir en s’excusant, car elle devait aller à la salle de bain avant le massage, je me suis dit prends ton temps. J’avais écrit des pensées sur les murs et les plafonds même dans la salle de bain quand j’ai rénové les lieux. Étant assis sur la cuvette, on pouvait y lire, « L’échec c’est de ne plus essayer » et je trouvais que cette pensée remplissait l’état d’âme de la personne y trônant.

Sonia sortit de la salle de bain, en disant je les ai, je les ai, les messages! Le plus drôle c’est que c’est toi qui les as écrits sur tous les murs, elle me prit la main et nous avons fait le tour des lieux pour en faire la lecture. À ma grande stupéfaction, j’avais pratiquement écrit l’histoire de ma vie sous forme métaphorique, bien entendu….

J’y avais écrit :

« Observez de tous vos sens sans ne rien comprendre. Une fois l’incompréhension bien établie, ré-observez du coin du cœur sans attentes ».   Elle est de moi celle-là.

« Découvrez ce que vous aimeriez faire, et faites tout votre possible pour y arriver ».

 « L’amour se passe de cadeaux, mais pas de présences ».

« La vie est une ivresse continuelle : le plaisir passe, le mal de tête reste ».

« La fidélité est une démangeaison avec une interdiction de se gratter ».

« Quand le diable n’y peut rien, il délègue sa femme ».

« La vie n’est pas une course, le premier rendu au bout n’est pas nécessairement le vainqueur ».

 « Vous êtes une lumière, à votre contact, on s’allume ou l’on se brûle ».

« L’ignorant affirme, le savant doute et le sage réfléchit ».

 « Les rivières les plus profondes sont les plus silencieuses ».

 « L’argent ne peut acheter l’amour, mais il vous donne une meilleure place sur le marché ».

 « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts ».

 « On a si peu l’habitude de la bonté qu’on la confond avec l’idiotie ».

Il me fallut quelque temps pour comprendre le fond de ces pensées.

Après avoir discuté avec Sonia de cette découverte qui la renversait tandis que pour moi, bof, je les avais écrites parce qu’elle me plaisait mais bon. Elle, elle semblait en pleine extase devant ces phrases, moi je m’attendais à ce que les murs tremblent, qu’un génie sorte d’une bouteille, quelque chose comme ça…

J’ai terminé cette rencontre par un massage tout à fait banal avec Sonia, il fut très ennuyant d’ailleurs, pas de messages ni d’un côté, ni de l’autre et elle se revêtit, elle semblait soulagée et moi je restais sur mon appétit. La Russie, la prison, basta, plus rien, les jours qui suivirent était très normaux, j’arrivais à décompresser des rencontres extraordinaires du mois passé.

La suite Noel 2018 et janvier 2019

Une nouvelle cliente que je nommerai Gaby me contacte me disant qu’elle veut un massage, et  le plus rapidement possible qu’elle est stressée

Elle prit rendez-vous le lendemain, elle avait un accent anglais et un débit saccadé dans ses paroles, ses paroles étaient brèves elle semblait vouloir repartir avant d’arriver. Tout le temps que je lui aie fait remplir son dossier client elle refusa d’enlever son manteau, je sentais en elle des blessures de femmes qu’elle portait sur ses épaules sous son manteau d’hiver, c’était atrocement lourd !

Nous passâmes dans la salle de soins, elle voulait que je lui soigne uniquement le dos ?

Dès que j’ai apposé mes mains sur son dos elle se mis à trembler toutes les chaines musculaires reliées à la superficie que mes mains palpaient tremblaient abondamment, ce qui venait valider ses blessures intérieures au-delà de des douleurs corporelles.

Je ressentais comme des vagues de blessures de femmes des pays de l’est, de multiples abus que ces femmes tentent de libérer, prostitution, violence, et multiples abus…

Après environ trente minutes, j’ai dit à Gaby : désolé je dois sortir un instant, et ceci ne m’es jamais arrivé dans près de 20 ans de carrière.

Je me suis retrouvé comme saoul d’alcool, je me suis assis sur un tabouret muni de roulettes et j’ai simplement roulé hors de ma salle de soin. J’étais incapable de me tenir debout, je transpirais mes cheveux et t-shirt était trempé en quelques seconde. Carole m’apporta une serviette froide pour me rafraichir elle craignait un acv de ma part.

Je lui ai dit : non pas de douleurs, je lui ai dit : vas dire à Gaby de m’excuser et de la raccompagner et que je la recontacterais dans quelques jours.

Âpres quelques minutes je revint plus à la normal, mais durant quelques jours mon énergie était faible.

Une semaine passa et Gaby reprit rendez-vous et là j’étais prêt, bien ancré en assurance, on va bien aller voir qui est cette Gaby…

On a fait une bonne jasette avant le soin je lui ai dit qu’elle n’était pas responsable de mon malaise, mais que probablement elle portait en elle des blessures que je pouvais palper et ressentir fortement ?

Je lui fis alors un premier soin RESET sans avoir de malaise mais il m’a fallu me ré-ancrer à quelques reprises quand je sentais que ses blessures tentaient d’entrer en moi comme si mon ancre chassait pendant la tempête qu’elle vivait en elle.

 

Gaby pris un troisième soin, le second RESET elle tremblait pratiquement plus elle avait une plus grande assurance avec moi

Tout à coup je lui ai dit : toi tes origines sont de Roumanie ? Elle me dit oui ! tu habitais un petit village ?comment sait tu ça ? Et là le coup de théâtre : ton village n’était pas en Géorgie ? Comment sais-tu tout ça…

 

Cas-23 : Florence,

Florence est une femme dans la quarantaine, elle passe un dur moment depuis plusieurs années.

Le nom Florence dans son étymologie a pour racine Florentia ou Florens désignant une fleur dans sa floraison au sens propre, et au sens figuré d’être dans le bonheur voir même dans la procréation…

Florence vit avec son garçon, un grand gaillard solide plutôt cartésien avec un grand cœur.

Florence a perdu toutes ses pétales et même son pistil il y a une bonne quinzaine d’années, le jour où sa fille est morte quelques heures après sa naissance …

Comme si le départ de cet enfant avait laissé place à une amertume, voire même une colère envers la terre et l’univers.

Cette colère silencieuse, comme une rivière profonde aux méandres malicieux, pris place en elle. Florence portait encore en elle un embryon féminin mais elle s’appelait dorénavant «Colère Profonde».

Colère Profonde devint le grain de sable qui entre dans l’huitre, qui irrite celle-ci mais qui s’installe au plus profond du nacre.

Pour l’huitre ce nucléus de sable irritant fait de silice, pourra possiblement un jour se transformer en perle !

Donc cette colère (ou se grain de sable) en Florence, pourras-ton la transformer en autre chose, par l’attention, l’intention, l’amour et un peu d’alchimie ?

Le problème des rivières profondes, étant silencieuses, c’est qu’un jour elles finissent par rencontrer des hauts fonds, des galets où elles dansent sur des Pierres, des Jean, des Richards.

Ces cascades apportent de l’oxygène à la rivière, mais après quelques remous de bonheur éphémères, ces tumultes ramèneront rapidement la rivière à l’état d’un long fleuve tranquille…

Une fleur sans pétale sans pistil, est comme une rivière sans mouvements, elles finiront les deux par se tarir.

Florence et moi, nous nous connaissons depuis près de deux ans, je savais qu’elle portait en elle une grande peine. J’ai tenté à quelques reprises d’aller remettre en vie sa féminité qui se trouvait incarcérée dans de lourdes mémoires. J’y suis arrivé, mais souvent cette liberté qu’elle s’accordait n’était pas totalement inconditionnelle, et du coup son bonheur devenait éphémère.

Florence vivait ce que je nomme « le jour de la marmotte », tel un cycle menstruel mais inversé, elle vivait quatre jours de bonheur et le reste du mois dans un univers colérique envers l’univers…

Florence n’était plus en quête de sa mission sur terre, elle était comme un paratonnerre n’étant plus connecté à la terre et attirant la foudre sur elle, se consumant à chaque fois qu’elle se permettait de cascader sur un Pierre, un Richard, ou un Jean…

N’oubliez pas que la colère d’une rivière peut être dévastatrice si elle sort de son lit.

Il y a de cela quelques jours à peine, l’univers de Florence a permuté, nous avons, mes guides et moi, fait en sorte que Florence ait finalement accepté de refaire la connexion entre la terre Gaia et avec sa féminité grâce à RESET ! Ce fut pour elle comme un accouchement, mais inversé.

J’insiste sur ce point, qu’elle ait accepté de se reconnecter à la terre, de remettre ses racines féminines à la terre pour se nourrir en alimentant son pistil et ses pétales à nouveau.

Elle a simplement accepté que l’énergie féminine de la terre entre en elle à nouveau, et dans la foulé, cette énergie a repoussé ses peurs hors d’elle ainsi que la crainte d’avoir mal à nouveau. Dès que cette acceptation fut établie, elle eut une vive douleur incisive à l’ovaire gauche, elle posa sa main sur celui-ci et me demanda : Qui est cette présence féminine dans mon ovaire?

Tu veux vraiment savoir?

C’est simplement ton grain de sable qui vient de se transformer en perle…

C’est quelqu’un du passé qui revient prendre place dans ton univers féminin mais pas de façon matriarcale, sa présence non physique, mais spirituelle sera une guidance pour toi maintenant que tu as vaincu tes peurs et soulagé ta haine envers l’univers …

Florence a pleuré, pleuré, pleuré, des larmes de joies, de bonheur, de légèreté, de liberté.

Ce qui est étrange aussi, c’est que ses facultés se sont aussi décuplées, Florence ressent plus de choses, elle est en constante communication avec cette guidance qu’elle croyait avoir perdu à sa naissance après une vie terrestre de courte duré.

Je vous en dirai plus sur Florence et sa convalescence si elle me le permet et qui sait, un jour si elle le veut, je vous la présenterai peut –être …

 

 

 

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